Cependant, un point reste incertain : Les premières poursuites tiendront dans les preuves apportées par les majors (IFPI ou SNEP en France). Mais la CNIL (Commission Nationale de l'informatique et des Libertés) interdit aux maisons de disques, et à tout autre groupe, de collecter les adresses IP. Selon la CNIL, ce sont des données personnelles nécessitant l'autorisation de celui chez qui elles sont prélevées. En attendant une modification de cette loi, il est impossible aux majors de trouver les pirates sur le P2P.
Malgré cela, Hervé Rony, directeur général du SNEP, a laissé entendre que le parquet se serait saisi de certaines affaires et que des juges d'instruction pourraient ainsi avoir ordonné des commissions rogatoires pour collecter les adresses IP des pirates, en vue de procès...

8 commentaires pour “P2P : Premières poursuites en France début juillet ?”
On peut toujours être condamné pour ça
>> Mais les revendeurs informatiques ne conservent pas les adresses MAC dans leurs bases de données ...
En même temps je ne sais pas si la justice française irait chercher le frabricant à Taïwan...
Mais je suis surement paranoïaque...
De toutes manières je ne pratique absolument pas ce genre de pratique car je n'est pas de connexion internet digne de ce nom (56k 20h/mois