Selon
Slashdot, SCO prévoirait d'offrir des réductions et avantages financiers aux entreprises qui décideraient d'abandonner Linux pour un autre système "doté d'une base TCPIP plus robuste", même autre qu'un Unix SCO. SCO
fait de plus appel à d'éventuels investisseurs pour lui permettre de "poursuivre ses actions en justice", ajoutant que la santé de l'entreprise dépend aujourd'hui entièrement de ses brevets. Un cri de la dernière chance, surenchéri par leur projet, selon Daniel Lyons de
Yahoo News, d'attaquer l'industrie du cinéma qui utilise de plus en plus des clusters Linux pour ses calculs de rendus, en lieu et place des stations SGI ou des grands calculateurs. SCO n'en a donc pas fini de tirer dans tous les sens pour sauver son fonds de commerce, quitte à mettre en jeu sa réputation et geler ses activités depuis déjà deux trimestres.
Source : Slashdot