C'est en tout cas la question que se pose
Scott Granneman dans son article publié sur le site brittanique The Register. Sa base d'utilisateurs quasi universelle en fait un système très sujet aux attaques de toutes parts, mais le système lui même présente des failles intrinsèques que Linux ou MacOS, les deux véritables alternatives desktop à Windows, ont su corriger. Même si l'OS de Microsoft est en constante progression, Scott remarque que [traduit de l'anglais] :
Pour bousiller son Linux, vous devez travailler dessus; pour bousiller son Windows, il suffit de travailler avec !
Il fait de plus le triste constat que les virus Windows ont une fâcheuse tendance à se propager à une vitesse fulgurante, et à causer de nombreux dégats, alors que les virus Mac, Linux ou Unix sont restés en laboatoires.
Un article [en anglais] très intéressant et complet à lire
ici.
(Pensez aux commentaires qui contiennent notamment une traduction de la conclusion

)