D'accord avec Tanis, rien ne sert de récupéré quelque cartouches d'encre si c'est pour laisser des bateau poubelle battant pavillon Grec avec un armateur Turc un équipage Yougoslave et un capitaine Chinois (Qui bien sur ne peut pas se faire comprendre de son équipage, barrière des langue oblige). Le bateau contrôlé par une entreprise Italienne déjà remarqué pour l'Erika et le tout commandé par une grande multinational d'un pays riche.
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